En 1996 et 1998, Emmanuelle Michaux présente deux films à la Biennale Internationale du Film sur l’art du Centre Georges Pompidou.
Chaque film interroge de manière différente la mécanique, et donc l’illusion cinématographique de recréation du mouvement.
En remontant aux origines du cinéma, Emmanuelle Michaux commence à questionner la passion que son père lui a transmise et dont elle ressent inconsciemment le poids. Ainsi commence ce long travail, qui sera le sien, tenter de comprendre le cinéma comme moyen démiurge de reconstruction et réappropriation du monde.